Je ne vais pas vous mentir, je n’ai jamais franchement été fan de la saga Star Wars. J’ai tout vu sauf le dernier et j’apprécie, mais dans les faits je m’en cogne pas mal. Cela ne m’empêche pas de reconnaître une chouette réalisation par un fan, en l’occurrence une vidéo.
Il s’agit d’un trailer pour les trois premiers épisodes de Star Wars (chronologiquement, pas dans l’histoire, blabla, osef) monté à la sauce « moderne ». Musique « épique », fondus lents, montée en puissance dramatique, utilisation des voix en narration, pauses, tout y est. C’est propre, agréable à regarder, j’ai aimé. Vous ?
Le truc marrant c’est que la vidéo date de l’année dernière et vient juste de « buzzer », comme quoi, faites du contenu sympa, il sera repéré un jour. Peut-être.
Il y a quelques jours Youtube a fait une annonce importante qui est passée presque inaperçue mais représente un premier pas dans la bonne direction, aussi petit soit-il. La firme est en train de mettre en place un système qui garde les revenus de côté pendant une « dispute » Content ID, pour ensuite les re-distribuer correctement. Heu, Axel, quoi ?
Quelques explications sont de vigueur pour les non-initiés. Content ID c’est la bouse de système que Youtube utilise pour gérer les problèmes de copyright. Oui, je suis dur, mais c’est un fait. Autre fait : gérer ces soucis sur une plateforme aussi énorme doit être un véritable calvaire. Bref. Il y a deux parties : une première complètement automatisée qui va directement poser une alerte copyright en détectant le contenu via un robot, une seconde qui réceptionne les plaintes des potentiels ayants-droits et fait l’intermédiaire avec le créateur de contenu. Les deux sont assez proches car au final on parle des mêmes choses, et ceux-ci disposent de faiblesses similaires : rien n’empêche un « Copyright Troll » de casser les pieds.
Pour imaginer un Copyright Troll, il faut vous représenter un type genre Martin Shkreli mais adapté au monde du copyright. Une entité qui gagne sa croûte en s’accaparant le travail des autres et en profitant d’un système pourrave. Yep, une bonne bande de parasites. Malheureusement ce genre de pratique est régulière et ne concerne pas que des entités comme celles-ci. En effet, n’importe qui peut réaliser une plainte illégitime, généralement basée sur une interprétation différente de la notion de fair use.
Bref, il est très fréquent que des créateurs de contenu se retrouvent avec des plaintes voir des strikes sur leurs chaînes alors qu’ils sont dans leur droit. Actuellement le système est comme suit : lorsqu’une vidéo est touchée par une plainte, la monétisation de celle-ci s’arrête le temps de régler le bordel, qui prend généralement plusieurs semaines le temps de plusieurs étapes bien cadrées avec des semaines « tampon ».
Exemple, prenez un youtuber qui utilise des clips courts d’autres vidéos pour illustrer des propos et qui, on part de ce principe ici, respecte le fair use. Pendant cette période de traitement de la plainte, le créateur ne touche pas un centime sur les vues réalisées, et s’il s’agit d’une vidéo sur un sujet « chaud du moment », autant vous dire qu’il loupe la majorité de ses revenus.
Le nouveau système expliqué visuellement, pour les nuls
Avec le nouveau système, qui sera mis en place ces prochains mois, sans précision, les vidéos continueront d’être monétisées pendant la « dispute », les revenus seront mis de côté puis distribués à la partie qui est dans son droit. Cela permettra au youtuber de récupérer son cash s’il s’est fait troller, c’est une bonne chose. C’est aussi une façon pour Youtube de toucher une pourcentage de revenus sur les vidéos sous dispute, mais ça il ne faut pas trop en parler.
D’après Youtube, « seules 1% des plaintes Content ID sont contestées ». Sans blague ? Vous savez quel est l’impact d’une dispute contestée à tord ? Un strike. Au bout de trois, tu dégages de Youtube. Tu m’étonnes que les créateurs vont pas s’amuser à contester, mieux vaut perdre quelques euros que perdre sa chaîne. Bordel. On appelle ça avoir des œillères.
Quoi qu’il en soit, avec ce système Youtube compte réduire le nombre de fausses plaintes qui n’ont pour but que d’emmerder le youtuber, ça me semble assez judicieux, reste à voir quand il sera déployé et s’il est bien fonctionnel. Dans son communiqué, la firme déclare être en train de bosser activement pour améliorer Content ID, à suivre donc.
Mardi Google a annoncé via son blog AdWords lancer dès le mois de mai un nouveau format publicitaire sur Youtube baptisé « Bumper Ads » (un bumper littéralement est un pare-choc, ici on dirait plutôt « Pub Tampon », du genre). Il s’agit de 6 secondes de publicité vidéo en pre-roll (avant votre vidéo), exclusif au mobile, et que vous ne pourrez pas passer. J’ai une bonne nouvelle pour vous : ça ne changera strictement rien pour vous, j’ai même tendance à penser que ça aura un impact positif sur votre utilisation de Youtube.
« Mais Axel, la pub c’est le mal ! », well, oui, mais malheureusement en attendant que les gens comprennent que tout n’est pas gratuit sur Internet et que les créateurs de contenu ne peuvent pas vivre d’amour et d’eau fraîche (et d’ici que des systèmes de monétisation adéquat soient mis en place), c’est un mal nécessaire.
« Ouais mais Axel, 6 secondes de pub impossible à passer, c’est intolérable ! », lis la suite, jeune padawan.
5 + 1 = 6, mind = blown
Ok, donc actuellement sur mobile vous avez deux possibilités : pas de pub (yayyy) ou pub (booo). Le format « bannière » qu’on a sur ordinateur n’est pas proposé, car il pue la défaite. Donc au final si vous avez une pub sur mobile aujourd’hui, c’est un format de 15 à 30 secondes (voir plus parfois) avec possibilité de le passer à partir de 5 secondes. Si vous n’interagissez pas avec l’écran, vous vous tapez la pub entière.
Avec le Bumper Ad, au bout de 6 secondes c’est réglé, la pub disparaît et vous avez votre vidéo. Pas besoin de toucher votre écran, d’allumer votre smartphone connecté via ChromeCast, courir à travers le salon car vous êtes en pleine soirée et avez décidé de lire de la musique via Youtube pour passer la pub et arrêter de donner l’impression que vos goûts musicaux c’est « une femme qui parle de serviettes hygiéniques » (tiens là c’est le meilleur passage, écoute ça : « Avec Nana, vous pouvez bouger autant que vous voulez », ouuuh, lourd).
Ce format pub s’ajoute aux possibilités actuelles, c’est à dire que l’annonceur va choisir entre ce format et d’autres, comme un TrueView classique (vidéo « longue », possibilité de skip) qui, d’après Google, complète bien l’offre Bumper (qui tient plus du « teaser »). En aucun cas le format Bumper Ad s’ajoutera avant un pre-roll classique, en aucun cas ce Bumper sera proposé systématiquement, c’est une offre que Google ajoute à son arc, rien de plus (sans oublier le capping).
Donc oui, ce pre-roll ne peut pas être passé, mais il dure une pauvre seconde de plus que le délai de « skip » d’un TrueView habituel, soit plus ou moins le temps que vous appuyiez sur votre écran, ça semble fair.
Voilà, les choses sont désormais claires. Si le format vous branche, contactez votre représentant Google AdWords le plus proche (enfin, celui avec qui vous échangez par mail) et dites que vous venez de la part de Fernand, il ne comprendra pas. Quoi qu’il en soit, les Bumpers seront vendus sur la plateforme AdWords au CPM (contrairement à un TrueView que l’annonceur paie uniquement lorsque l’utilisateur « accepte » de regarder la suite).
Pour les intéressés, un Bumper Ad ça ressemble à ce genre de chose :
Pour fêter le lancement de W38.fr, je vous avais promis quelques concours. Voici donc le premier, avec un clavier pour gamer Cherry MX Board 6.0 (180/200€) à gagner ! Il s’agit, une fois n’est pas coutume, d’un concours 100% sur Twitter, pour participer il suffit de RT ce twitt et de suivre notre compteTwitter. D’autre concours seront proposés par la suite, soyez attentifs. Consultez les règles sous la vidéo.
Règles/conditions
Une participation par personne, si je constate la moindre tentative de tricherie la personne sera disqualifiée
Le concours a lieu du 28/04/2016 dès publication du twitt au dimanche 01/05/2016 minuit, tirage au sort le lendemain, résultats publiés sur Twitter
Concours réservés aux personnes résidant en France métropolitaine, Suisse et Belgique
En préambule, ceci est un conseil si vous êtes au boulot : ne recherchez pas (encore) « BeautyTube » sur Google, vous tomberez sur un mélange d’articles (comme celui-ci) et de sites porno bien NSFW. Ben ouais, beauté et le mot clé « tube », ça fait pas bon ménage.
Les gars, j’ai les dents qui crincent (Source photo : AFP JEFF PACHOUD)
BeautyTube, c’est quoi ?
Bon, avant de parler du fait que ceci est une mauvaise idée, je vais vous expliquer de quoi il s’agit. BeautyTube c’est une « initiative » de L’Oreal et Youtube (lire : « signature d’un gros chèque merci ») afin de former des « talents » existants sur Youtube axés beauté afin qu’ils deviennent plus balaises.
10 Youtubeuses ont été sélectionnées, avec différentes tailles de communauté (31k chez Tycia, 16k chez Milca, 10k chez Mlle Papote, etc). Elles ne sont pas (encore) des stars au point de faire pleurer leurs fans (qui sait, remarque) mais elles ne débutent pas non plus. Ces demoiselles vont suivre dès le mois de juin 2016 une formation à base de 2 cours par mois (d’après ce que j’ai compris, j’attends une réponse d’une des Youtubeuse pour plus d’infos) avec, en parallèle, l’ouverture d’une web série diffusée sur la chaîne de L’Oréal pour les autres personnes intéressées.
A l’issue du « cursus » (2 cours par mois, faut pas déconner non plus), les filles vont avoir droit à un diplôme à accrocher dans leur chambre et devront recruter 10 autres personnes pour prendre le relais.
L’idée est simple et claire, elle utilise le Youtube Space, qui est un lieu créé automne 2015 à Paris (dans les locaux de Google) pour permettre aux créateurs de se retrouver, apprendre à être plus populaire sur la plateforme, etc. Ben alors, Axel, quel est le problème ?
Le Youtube Space à Paris – Crédit photo Melinda DAVAN-SOULAS, LCI
RIP neutralité
L’Oréal qui forme des Youtubeuses beauté, c’est comme si Samsung formait des Youtubeurs tech
Les nanas qui ont accepté de participer à ce programme sont toutes très contentes et c’est complètement normal, cela valorise leur boulot (que je ne dénigre en aucun cas, vraiment, elles assurent) et leur donne l’espoir de pouvoir un jour vivre de leur passion, et ça, c’est génial. Le truc, c’est qu’il y a un véritable souci de neutralité. Imaginez le cas suivant : Samsung met en place une « école de Youtubers Tech » pour former les créateurs de vidéos high-tech. Vous voyez ce qui cloche ?
La citation de Delphine Buchotte, dircom de L’Oréal, parle d’elle-même : « En tant que leader de la beauté dans le monde, notre objectif est de constamment œuvrer à améliorer la diversité et la qualité des contenus beauté à disposition de nos consommateurs (…) pour accompagner les nouveaux talents dans l’expression de leur vision de la beauté et innover dans la qualité des contenus disponibles sur YouTube ». Œuvrer à améliorer la diversité et la qualité des contenus beauté à disposition de nos consommateurs, ça me semble clair, l’idée ici est d’utiliser ces créatrices pour produire de nouveaux contenus liés à la marque, point barre.
Il s’agit d’une stratégie très intelligente de la part de L’Oréal. Concrètement aujourd’hui si la marque veut être présente sur Youtube, elle va s’adresser aux créatrices qui pèsent et celles-ci vont les faire raquer bien comme il faut. C’est le jeu. En draguant des Youtubeuses de plus petite taille mais qui ont du potentiel, la marque s’offre une image « au top » auprès de ces potentielles futures « EnjoyPhoenix » et clairement ça n’a pas de prix.
Est-ce vraiment le rôle du Youtube Space ?
Je connais bien le Youtube Space, l’idée initiale est de proposer un espace physique pour permettre aux Youtubers de s’y retrouver, échanger, collaborer, se donner des conseils pour progresser. Des sessions de cours font partie du programme également, mais pourquoi intégrer les marques dans l’équation ? Pourquoi ne pas simplement proposer à des intervenants « neutres » de donner des cours, sans grosse corporation derrière ? Au final pour Youtube/Google le but est d’aider à créer de nouveaux « gros Youtubers », avec les vues qui vont avec. L’objectif ne pourrait-il pas être atteint sans inclure de marque ? Est-ce que vous pensez sérieusement que ces jeunes femmes vont être capables de faire la part des choses quand il s’agira de donner un avis franc sur un produit après avoir suivi cette formation ? Bref, le débat est ouvert.
Youtube et surtout la « Youtube Money » fait rêver la plupart des gens. Ben ouais, être payé grassement à fait quelque chose de super facile, c’est top (décelez l’ironie dans le propos, please). Du coup, les gens veulent savoir combien gagnent les Youtubers. Aujourd’hui je vais vous parler de ça. Est-il possible pour vous de calculer les revenus des Youtubers ?
Calculer les revenus des Youtubers, mais de quoi je me mêle ?
A mon sens le premier élément de réflexion est une affaire de bon sens et de respect, mais, concrètement, pourquoi voudriez-vous savoir combien gagne tel ou tel Youtuber ? Est-ce que des inconnus vous demandent régulièrement votre salaire ? Aimeriez-vous qu’on vous demande constamment combien vous gagnez ?
Au delà d’une affaire de quelconque « taboo », cela ne vous regarde tout simplement pas. C’est pas vos oignons quoi. Mais comme je sais que les gens ont souvent du mal à s’occuper de leur propre cire d’abeille, voici quelques éléments de réponse.
Donc, vous avez sûrement tous entendu le fameux « 1 million de vues = 1000€ », l’espèce de formule magique tombée du camion qui vous permettrait de calculer les revenus des Youtubers et crier au scandale sur les millions touchés par Cyprien tous les ans. Pour faire court, sachez que ceci est, tout au mieux, une sorte de moyenne à la fourche qui doit tomber juste un jour par année bissextile. Mais pourquoi ?
[/vc_column_text][/vc_column][/vc_row][vc_row][vc_column][vc_message icon_fontawesome= »fa fa-question-circle »]« Mais t’es qui toi pour parler, hein ? »
J’ai bossé trois ans dans la pub sur le web et je suis Youtuber et éditeur depuis 7 ans. Je vis de la pub, je sais de quoi je parle, now shut up and listen.[/vc_message][/vc_column][/vc_row][vc_row][vc_column][vc_column_text]
Distinguer Vues et Vues monétisées (volume)
La « formule » en carton fait allusion aux vues, celles visibles par le viewer, directement sous la vidéo. Il faut comprendre qu’entre les vues et les vues monétisées (celles qui rapportent du cash), il y a souvent un fossé. Pour faire bref, voici les éléments qui peuvent influencer ce delta :
Le pays où la vidéo a été visionnée
Les histoires de copyright (parfois il y a des pubs affichées mais les revenus reviennent à l’ayant droit, ou le copyright troll)
Le capping (toutes les vues n’affichent pas des pubs, surtout consécutives)
Adblock, environ 40% des utilisateurs sur Youtube l’utilisent
La plateforme de visionnage, notamment le mobile moins exploitée pour la monétisation
Le CPM/RPM change (valeur)
Au delà du volume, base du « calcul », qui n’est pas correct, il faut prendre en compte la fluctuation de la valeur de chaque vue effectuée avec publicité. Cet indice c’est le CPM, ou plutôt RPM ici (Revenu Pour Mille, mille impressions publicitaires, affichages quoi). Le RPM change en permanence et cela suivant plusieurs critères, tous opaques aux yeux des spectateurs :
Moment du visionnage : le RPM varie au fil de l’année, selon les budgets, l’actualité… exemple : Noël (nov/dec) est souvent un pic de RPM, janvier une chute, etc.
Formats : selon les formats affichés il change également, pre-roll (vidéo avant la vidéo), pre-roll non skipable, simple bannière.
Thématique : en complément de ces deux premiers facteurs, de base le RPM va être différent selon les thématiques, un RPM moyen de « gastronomie » sera différent d’un « tech » ou « gaming ».
Dans tous les cas, le viewer n’a aucune idée de cela, et on ne parle pas d’une variation infime, en témoigne la courbe ci-dessous (RPM moyen en dollars sur notre chaîne Youtube 2014-2015).
Les networks, ou MCN
Sur Youtube il existe ce qu’on appelle des MCN, Multi-Channel Networks. Il s’agit d’entreprises qui proposent leurs services aux Youtubers et regroupent souvent plusieurs chaînes, comme leur nom l’indique.
Elles peuvent aider à la promotion du créateur, optimiser les revenus publicitaires, apporter des deals exclusifs avec des marques… ou est complètement inutile tout en absorbant un pourcentage des revenus (c’est souvent le cas). Au final, même si vous avez une idée du network qui bosse avec une chaîne, vous ignorez les modalités du contrat, le montant des vidéos sponsorisées potentiellement publiées, ce genre de genre. Surtout que parfois la mention « sponsorisée » est cachée, ou invisible (excellente au demeurant).
Top 10 des MCN en juin 2015, monde – source Tubular Labs
Bon alors, les Youtubers gagnent plus ou moins ?
« Ok ok, on ne peut pas calculer exactement, mais ils gagnent plus que ça ou moins ? ». Vous n’avez pas encore lâché l’affaire ? Bon. Dites-vous que les gros Youtubers (en France plus de 300k subs, mondial plutôt 500/600k) gagnent bien plus. Les autres, tout dépend de leur popularité, leur capacité à faire du personal branling branding et tout simplement à se vendre auprès de potentiels sponsors.
Mais d’une manière générale vous pouvez vous mettre dans le crâne que « Youtube rapporte keudal », mais une raison simple, sans deal super juteux ou millions de vues, c’est simplement du Google Adsense légèrement moins naze car adapté à la vidéo, et encore.
Arrêtez de vous toucher et lancez-vous
A priori si vous cherchez à savoir combien gagne un Youtuber, c’est car vous enviez au moins un minimum le fait de pouvoir vivre de ses créations, quelles qu’elles soient. Ben, j’ai une excellente nouvelle pour vous : tout le monde peut devenir Youtuber (mind = blown), à vous de sortir un truc qui soit pas lamentable pour attirer du monde. Arrêtez de vous plaindre, si vous voulez du cash, allez le chercher ou taisez-vous, merci.
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